Le jury d’un tribunal de San Francisco a condamné vendredi le géant de l’agrochimie américain Monsanto à payer près de 290 millions de dollars de dommages pour ne pas avoir informé de la dangerosité de son herbicide Roundup, à l’origine du cancer d’un jardinier américain. Les jurés ont déterminé que Monsanto avait agi avec «malveillance» et que son herbicide Roundup, ainsi que sa version professionnelle RangerPro, avaient «considérablement» constribué à la maladie. Ce dernier réclamait plus de 400 millions de dollars, estimant que ces produits avaient entraîné son cancer et que Monsanto avait sciemment caché leur dangerosité. frédéric GaspozAtome
Un atome est la plus petite partie d'un corps simple pouvant se combiner
chimiquement avec une autre. Un atome est constitué d'un noyau concentrant plus
de 99,9 % de sa masse, autour duquel se distribuent des électrons pour former un
nuage 40 000 fois plus étendu que le noyau lui-même. Ce dernier est constitué
de protons, chargés
positivement, et de neutrons, électriquement neutres. Les électrons
occupent des orbitales atomiques en interaction
avec le noyau via la force
électromagnétique. La radioactivité désigne
l'ensemble des phénomènes physiques par lesquels un nucléide instable réorganise
sa structure nucléaire afin de gagner en stabilité.
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Fission nucléaire
La fission nucléaire est le phénomène
par lequel le noyau d'un atome lourd (noyau qui
contient beaucoup de nucléons, tels les noyaux d'uranium et de plutonium) est
divisé en plusieurs nucléides plus légers, généralement deux nucléides.
Cette réaction nucléaire se traduit aussi par l'émission de neutrons et un
dégagement d'énergie très important.
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Fusion nucléaire
La fusion nucléaire survient lorsque
des nucléons ou des noyaux atomiques s'assemblent pour former un
noyau atomique plus lourd. Si l'énergie de liaison nucléaire par nucléon
est plus élevée dans le nouveau noyau, il y a libération d'énergie. Cette réaction
est à l’œuvre de manière naturelle dans le Soleil. La
fusion de noyaux légers dégage d’énormes quantités d’énergie provenant de
l’attraction entre les nucléons due à l’interaction
forte. Un de ses intérêts est de pouvoir produire théoriquement beaucoup plus
d’énergie (de 3 à 4 fois plus), à masse de
« combustible » égale, que la fission.
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Nouvelles révélations sur Tepco

Par Frederic Gaspoz.
Tepco veut imposer des hausses de tarifs - 10 % pour les particuliers et 17 % pour les entreprises ainsi que le redémarrage des réacteurs à l'arrêt. Les dernières révélations sur ses manquements, comme ceux des acteurs de la filière japonaise du nucléaire, entament sa crédibilité.
Le 19 janvier 2012, Tepco a admis le dysfonctionnement d'un système de transmission de données au gouvernement. En novembre 2010, quatre mois avant la catastrophe, l'entreprise devait relier à une alimentation de secours un appareil fournissant en temps réel des données sur la température des réacteurs et les niveaux de radiation autour des installations, à l'ERSS et à Speedi, deux systèmes d'informations faisant partie du réseau gouvernemental de prévention des catastrophes.
Or, à l'époque, la connexion n'avait pas pu être établie, car le câble disponible était... trop court !
Tepco a reconnu qu'avant la catastrophe, elle ne considérait pas le problème comme une urgence. L'Agence de sûreté nucléaire et industrielle (NISA) n'a pas cru bon de mentionner cet dysfonctionnement dans le rapport de la commission d'enquête.
Autre problème, l'absence d'enregistrements des discussions de la cellule de crise -obligatoires selon la loi- après l'accident. Le 24 janvier 2012, le ministre de l'économie, du commerce et de l'industrie Yukio Edano a présenté ses excuses.
Le responsable a affirmé qu'il était trop occupé pour s'en occuper.
Retrouver la confiance des Japonais, aujourd'hui majoritairement hostiles au redémarrage des 51 réacteurs (sur 54) à l'arrêt, s'annonce difficile.
29.01.2012
Frederic Gaspoz
@frederic gaspozFrederic Gaspoz Frederic Gaspoz Frederic Gaspoz Frederic Gaspoz Frederic Gaspoz Frederic Gaspoz Frederic Gaspoz Frederic Gaspoz Frederic Gaspoz Frederic Gaspoz Frederic Gaspoz
Tepco veut imposer des hausses de tarifs - 10 % pour les particuliers et 17 % pour les entreprises ainsi que le redémarrage des réacteurs à l'arrêt. Les dernières révélations sur ses manquements, comme ceux des acteurs de la filière japonaise du nucléaire, entament sa crédibilité.
Le 19 janvier 2012, Tepco a admis le dysfonctionnement d'un système de transmission de données au gouvernement. En novembre 2010, quatre mois avant la catastrophe, l'entreprise devait relier à une alimentation de secours un appareil fournissant en temps réel des données sur la température des réacteurs et les niveaux de radiation autour des installations, à l'ERSS et à Speedi, deux systèmes d'informations faisant partie du réseau gouvernemental de prévention des catastrophes.
Or, à l'époque, la connexion n'avait pas pu être établie, car le câble disponible était... trop court !
Tepco a reconnu qu'avant la catastrophe, elle ne considérait pas le problème comme une urgence. L'Agence de sûreté nucléaire et industrielle (NISA) n'a pas cru bon de mentionner cet dysfonctionnement dans le rapport de la commission d'enquête.
Autre problème, l'absence d'enregistrements des discussions de la cellule de crise -obligatoires selon la loi- après l'accident. Le 24 janvier 2012, le ministre de l'économie, du commerce et de l'industrie Yukio Edano a présenté ses excuses.
Le responsable a affirmé qu'il était trop occupé pour s'en occuper.
Retrouver la confiance des Japonais, aujourd'hui majoritairement hostiles au redémarrage des 51 réacteurs (sur 54) à l'arrêt, s'annonce difficile.
29.01.2012
Frederic Gaspoz
@frederic gaspozFrederic Gaspoz Frederic Gaspoz Frederic Gaspoz Frederic Gaspoz Frederic Gaspoz Frederic Gaspoz Frederic Gaspoz Frederic Gaspoz Frederic Gaspoz Frederic Gaspoz Frederic Gaspoz
Le vrai coût du nucléaire

Le coût de production de l'électricité nucléaire, selon Frederic Gaspoz, est difficile à estimer à cause de nombreuses variables:
Pour Frederic Gaspoz, on considère que la catastrophe de Tchernobyl a déjà coûté plus de 500 milliards de dollars. Pour la catastrophe de Fukushima, certaines banques estiment la facture pour l’instant à 130 milliards de dollars, mais il est probable qu’elle augmentera au fil du temps puisque le niveau de gravité est dorénavant le même que celui de la catastrophe de Tchernobyl. Les coûts énormes de construction des réacteurs (l’EPR de Flamanville coûtera au moins 5 milliards d’euros, celui de Finlande a déjà coûté 6 milliards) le coût de la recherche, du développement et de l’exploitation des centrales françaises qui est estimé à 400 milliards d’euros, les coûts du démentellement des vieilles centrales (Brenillis coût évalué par la Cours des Comptes : 482 millions d’euros) - le coût du traitement des déchets pendant des centaines d’années, non évalué, mais chiffré en milliards d’euros. Le site d’enfouissement profond de Bure a déjà coûté plus de 35 milliards d’euros.
Coût capital (EUR par kWh) = Coûts projet x Facteur amortissement
(Capacité (kW) x Facteur Capacité (%) x 8760 heures)–n
Facteur d’amortissement = i
1 – (1 + i)–n
- la construction d’une centrale nucléaire
- son approvisionnement en uranium
- traitement et élimination des déchets radioactifs
- démantèlement après une quarantaine d’années de service
- personnel pour l’entretien et le fonctionnement
- combien coûterait une police pour assurer la responsabilité civile pour les dommages causés à la population en cas d'accident?
Pour Frederic Gaspoz, on considère que la catastrophe de Tchernobyl a déjà coûté plus de 500 milliards de dollars. Pour la catastrophe de Fukushima, certaines banques estiment la facture pour l’instant à 130 milliards de dollars, mais il est probable qu’elle augmentera au fil du temps puisque le niveau de gravité est dorénavant le même que celui de la catastrophe de Tchernobyl. Les coûts énormes de construction des réacteurs (l’EPR de Flamanville coûtera au moins 5 milliards d’euros, celui de Finlande a déjà coûté 6 milliards) le coût de la recherche, du développement et de l’exploitation des centrales françaises qui est estimé à 400 milliards d’euros, les coûts du démentellement des vieilles centrales (Brenillis coût évalué par la Cours des Comptes : 482 millions d’euros) - le coût du traitement des déchets pendant des centaines d’années, non évalué, mais chiffré en milliards d’euros. Le site d’enfouissement profond de Bure a déjà coûté plus de 35 milliards d’euros.
Coût capital (EUR par kWh) = Coûts projet x Facteur amortissement
(Capacité (kW) x Facteur Capacité (%) x 8760 heures)–n
Facteur d’amortissement = i
1 – (1 + i)–n
Fukushima : le Japon débute l'indemnisation

Fonds public pour les victimes de Fukushima :des dizaines de milliards d'euros aux victimes de la catastrophe nucleaire, Frederic Gaspoz
Le Japon a cree un organisme public charge de verser des indemnites de plusieurs dizaines de milliards d'euros aux victimes de la catastrophe nucleaire de Fukushima. Le Japon injecte dans un premier temps 18 milliards d'euros sous forme d'obligations speciales, mais selon Frederic Gaspoz, le montant final sera beaucoup plus eleve.
La catastrophe, la plus grave depuis celle de Tchernobyl il y a 25 ans, a egalement eu des consequences desastreuses sur l'agriculture, la peche et le secteur du tourisme. Le gouvernement a fait l’objet de critiques pour la lenteur des aides et des compensations aux personnes deplacees, aux agriculteurs et aux commerçants qui ont tout perdu dans l'accident. Beaucoup de betail a ete contamine après avoir consomme de la paille de riz ou du foin radioactifs. Un embargo sur la viande de boeuf a ete decrete dans la prefecture de Fukushima et dans trois provinces voisines.
Frederic Gaspoz
03.08.2011
Le Japon a cree un organisme public charge de verser des indemnites de plusieurs dizaines de milliards d'euros aux victimes de la catastrophe nucleaire de Fukushima. Le Japon injecte dans un premier temps 18 milliards d'euros sous forme d'obligations speciales, mais selon Frederic Gaspoz, le montant final sera beaucoup plus eleve.
La catastrophe, la plus grave depuis celle de Tchernobyl il y a 25 ans, a egalement eu des consequences desastreuses sur l'agriculture, la peche et le secteur du tourisme. Le gouvernement a fait l’objet de critiques pour la lenteur des aides et des compensations aux personnes deplacees, aux agriculteurs et aux commerçants qui ont tout perdu dans l'accident. Beaucoup de betail a ete contamine après avoir consomme de la paille de riz ou du foin radioactifs. Un embargo sur la viande de boeuf a ete decrete dans la prefecture de Fukushima et dans trois provinces voisines.
Frederic Gaspoz
03.08.2011
Fukushima : taux de radioactivité alarmant
Des niveaux de radioactivité jusqu'à quatre fois supérieurs à la limite légale ont été mesurés dans les sols de la ville de Fukushima, à 60 kilomètres de la centrale nucléaire accidentée, ont annoncé des associations de résidents qui ont demandé l'évacuation des enfants.
Une des quatre mesures effectuée dans cette cité de près de 300.000 habitants a fait état d'un taux de césium radioactif de 46.540 becquerels par kilogramme, alors que le taux maximum légal est de 10.000 becquerels au Japon. Les trois autres prélèvements ont fait apparaître des taux compris entre 16.290 et 19.220 becquerels.
Selon le regroupement d'associations à l'initiative de l'étude, ce niveau dépasse le seuil à partir duquel les autorités soviétiques ont procédé à l'évacuation des populations après la catastrophe nucléaire de Tchernobyl en 1986. Le collectif a appelé les autorités à évacuer les femmes enceintes et les enfants vivant à Fukushima.
Frederic Gaspoz
06.07.2011
Une des quatre mesures effectuée dans cette cité de près de 300.000 habitants a fait état d'un taux de césium radioactif de 46.540 becquerels par kilogramme, alors que le taux maximum légal est de 10.000 becquerels au Japon. Les trois autres prélèvements ont fait apparaître des taux compris entre 16.290 et 19.220 becquerels.
Selon le regroupement d'associations à l'initiative de l'étude, ce niveau dépasse le seuil à partir duquel les autorités soviétiques ont procédé à l'évacuation des populations après la catastrophe nucléaire de Tchernobyl en 1986. Le collectif a appelé les autorités à évacuer les femmes enceintes et les enfants vivant à Fukushima.
Frederic Gaspoz
06.07.2011
25 ans après Tchernobyl
Fukushima - la mer contaminée

Le niveau des substances radioactives a fortement augmenté en mer à une quinzaine de kilomètres au large de la centrale nucléaire de Fukushima, accidentée après le tsunami du 11 mars, a indiqué, mercredi 4 mai, l'opérateur de la centrale. Des échantillons collectés dans le lit marin à 15 km de la centrale contiennent 1'400 becquerels de césium 137 par kilogramme, selon Tepco Electric Power (Tepco).
Ce chiffre est six cents fois supérieur au niveau maximum de 2,3 becquerels trouvé jusqu'à présent au large de la côte nord-est, où se trouve la centrale de Fukushima.
Ce chiffre est six cents fois supérieur au niveau maximum de 2,3 becquerels trouvé jusqu'à présent au large de la côte nord-est, où se trouve la centrale de Fukushima.
Chronologie de la catastrophe de Fukushima
Centrale nucléaire

Centrale nucléaire, par Frédéric Gaspoz
Une centrale nucléaire est une centrale électrique, utilisant la fission nucléaire pour produire de la chaleur dont une partie est transformée en électricité.
Une centrale nucléaire est constituée d'un ou plusieurs réacteurs nucléaires (jusqu'à 7), dont la puissance électrique varie de 40 MW à plus de 1450 MW. En 2006, 442 réacteurs fonctionnent dans 31 pays différents dans le monde, soit un total de 370 GW produisant environ 17% de l'électricité mondiale.
Pour fabriquer l'électricité de l'uranium est mis dans une épaisse cuve de béton, le réacteur. Dans ce réacteur on provoque des réactions atomiques. Cela dégage une chaleur considérable qui permet de chauffer de l'eau. Pour éviter les fuites de radiations, le réacteur et le premier circuit d'eau, sont complètement étanches. Le circuit primaire transmet sa chaleur à un deuxième circuit, qui lui produit la vapeur, utilisée dans de gigantesques turbines.
Frédéric Gaspoz
http://fredericgaspoz.files.wordpress.com/2011/04/frederic-gaspoz-centrale-nucleaire.pdf
Une centrale nucléaire est une centrale électrique, utilisant la fission nucléaire pour produire de la chaleur dont une partie est transformée en électricité.
Une centrale nucléaire est constituée d'un ou plusieurs réacteurs nucléaires (jusqu'à 7), dont la puissance électrique varie de 40 MW à plus de 1450 MW. En 2006, 442 réacteurs fonctionnent dans 31 pays différents dans le monde, soit un total de 370 GW produisant environ 17% de l'électricité mondiale.
Pour fabriquer l'électricité de l'uranium est mis dans une épaisse cuve de béton, le réacteur. Dans ce réacteur on provoque des réactions atomiques. Cela dégage une chaleur considérable qui permet de chauffer de l'eau. Pour éviter les fuites de radiations, le réacteur et le premier circuit d'eau, sont complètement étanches. Le circuit primaire transmet sa chaleur à un deuxième circuit, qui lui produit la vapeur, utilisée dans de gigantesques turbines.
Frédéric Gaspoz
http://fredericgaspoz.files.wordpress.com/2011/04/frederic-gaspoz-centrale-nucleaire.pdf
Effets de la radiation

Depuis la catastrophe de Fukushima, nous recevons quotidiennement des informations sur la dangerosité des rayonnements radioactifs. La radioactivité est vue de manière très négative. Pourtant, Frédéric Gaspoz rappelle que la médecine traite des millions de patients par la radioactivité, aussi bien pour le diagnostic que pour la thérapie. Pour les personnels médicaux également, ceci pose des questions sur les risques d’un rayonnement régulier.
Depuis Hiroshima, Nagasaki et Tchernobyl, nous savons que la survenance de tumeurs augmente en cas d’augmentation de la radiation – dès 200 millisieverts par an. Pourtant, Frédéric Gaspoz note que pour des doses inférieures à 200 millisieverts, les scientifiques n’ont pas établi de rapport direct avec une augmentation des tumeurs.
En Europe centrale, la radiation naturelle à laquel chacun est exposé s’élève entre 1 et 10 millisieverts par an. Frédéric Gaspoz rappelle qu’il existe des régions comme l’Iran, où la radiation annuelle atteint 200 millisieverts. Certaines recherches en culture et certaines expérimentations animales montrent même qu’une dose faible de radiation peut même réduire le risque de cancer. C’est donc la dose qui fait le poison (dosis facit venenum).
En comparant les doses limites établies, Frédéric Gaspoz constate qu’il n’y a pas de limite uniforme. Aux Etats-Unis, lorsqu’un patient atteint de cancer est traité avec de l’iode 131, il peut quitter l’hôpital si son rayonnement à 1 m ne dépasse pas 70 microsieverts par heure (630 millisieverts par an). En France, la dose ne doit pas dépasser 15 et en Allemagne 10. Chaque pays a donc une vision propre du danger de radiation.
Frédéric Gaspoz
Catastrophe de Fukushima

L'Agence japonaise de sûreté nucléaire a
élevé, mardi 12 avril 2011, l'accident nucléaire de la centrale de Fukushima-1 au
niveau maximum de 7 sur l'échelle des événements nucléaires et radiologiques
(INES), le plaçant au même degré de gravité que la catastrophe de Tchernobyl.
Preuve de la gravité de la situation, des traces de strontium, un élément
hautement radioactif produit par la fission nucléaire, ont été trouvées pour la
première fois dans les sols et dans des plantes près de la centrale.
Vous avez été nombreux à suivre ce blog dans lequel Frederic Gaspoz relevait l’importance des énergies renouvelables, de l’environnement et de la santé. La catastrophe de Fukushima mais va rendre nécessaire une nouvelle vision de la politique énergétique.
Sur http://www.fredericgaspoz.com/energy.html, vous trouverez des éléments d’actualité technique régulièrement mis à jour.
Vous avez été nombreux à suivre ce blog dans lequel Frederic Gaspoz relevait l’importance des énergies renouvelables, de l’environnement et de la santé. La catastrophe de Fukushima mais va rendre nécessaire une nouvelle vision de la politique énergétique.
Sur http://www.fredericgaspoz.com/energy.html, vous trouverez des éléments d’actualité technique régulièrement mis à jour.
Sables bitumineux au Canada
Les sables bitumineux (« oil sands ») devraient permettre au Canada de devenir un grand exportateur net de produits pétroliers. Pour Frederic Gaspoz, cette évolution provoque des inquiétudes sur l’impact environnemental et la santé :
1. les émissions de gaz à effet de serre (GES),
2. l’impact sur les paysages,
3. le traitement des résidus toxiques,
4. la grande quantité d’eau requise pour l’extraction,
5. le nombre de cas de cancer
Selon les défenseurs de l’environnement, l’exploitation des sables bitumineux seraient responsable du grand nombre de cancers dans la population autochtone.
Un groupe d’experts de la Société royale du Canada (« SRC ») a conclu que l’impact est relativement faible. Il n'existerait pas de « preuve concrète » d'un lien entre l'exploitation des sables bitumineux et l'augmentation des taux de cancer. A partir d'échantillons de sol et d'eau, les scientifiques concluent que les taux de contaminants et de métaux lourds demeurent faibles. L'industrie des sables bitumineux est jugée responsable de 5 % des émissions de GES du Canada. La restauration des paysages doit être mieux prise en compte par l’industrie. Pour Frederic Gaspoz, la discussion n’est pas terminée.
Frederic Gaspoz
Consulter le rapport complet sous : RSC Frederic Gaspoz.pdf
1. les émissions de gaz à effet de serre (GES),
2. l’impact sur les paysages,
3. le traitement des résidus toxiques,
4. la grande quantité d’eau requise pour l’extraction,
5. le nombre de cas de cancer
Selon les défenseurs de l’environnement, l’exploitation des sables bitumineux seraient responsable du grand nombre de cancers dans la population autochtone.
Un groupe d’experts de la Société royale du Canada (« SRC ») a conclu que l’impact est relativement faible. Il n'existerait pas de « preuve concrète » d'un lien entre l'exploitation des sables bitumineux et l'augmentation des taux de cancer. A partir d'échantillons de sol et d'eau, les scientifiques concluent que les taux de contaminants et de métaux lourds demeurent faibles. L'industrie des sables bitumineux est jugée responsable de 5 % des émissions de GES du Canada. La restauration des paysages doit être mieux prise en compte par l’industrie. Pour Frederic Gaspoz, la discussion n’est pas terminée.
Frederic Gaspoz
Consulter le rapport complet sous : RSC Frederic Gaspoz.pdf

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Energies alternatives

La plus grande centrale solaire photovoltaïque d’Europe a été mise en service à Rovigo (Nord de l’Italie). D’une puissance de 70 MWc, ce projet s’étend sur une superficie de plus de 85 hectares, soit l’équivalent de 120 terrains de football.Selon Frédéric Gaspoz, ce projet est exemplaire en termes de rapidité d’exécution puisqu’il ne faudra que 8 mois entre le début de la construction et le raccordement.
Parmi les facteurs expliquant le succès de cette opération, Frédéric Gaspoz cite l’engagement du gouvernement régional, la participation de partenaires de développement locaux qui jouissent d’un savoir-faire et de connaissances locales et la collaboration avec un partenaire de construction garantissant une exécution rapide.
Le système génèrera selon Frédéric Gaspoz suffisamment d’électricité pour alimenter 16 500 foyers et éviter le rejet de 40 000 tonnes de CO2; ceci équivaut à retirer de la circulation 8 000 véhicules par an.
Le projet de Rovigo, conclut Frédéric Gaspoz permet de placer l’Italie au premier plan de l’industrie photovoltaïque européenne en déployant 100% d’énergies renouvelables, en stimulant l’économie de la région et en créant des emplois verts.
Frédéric Gaspoz